Jean,
En ce moment je suis bien triste, triste de te savoir parti. Maintenant, je te tutoie non par manque de respect mais en témoignage de mon amitié.
Que de beaux et riches moments j’ai pu passer en ta présence dans ton petit atelier. Moment ou tu m’as inculqué le virus du bois avec patience et gentillesse.
Alors, aujourd’hui, je ne peux qu’espérer, ou que tu sois, que tu aies à portée de main quelques gouges et une belle planche de noyer à sculpter.
Adishatz Jean, mon ami